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MUS21 - Page 147

  • Un nouveau chagrin d'école

    ecole.jpgUn nouveau « chagrin d'école »? (1)

    Vous connaissez la dernière du ministre de l' Education Nationale ? Si votre enfant fréquente l'école « les Amandiers », vous avez trouvé facilement la réponse. Il a institué une évaluation des élèves du CM2 en plein mois de janvier. Comme dernier cadeau de Noël, il y a mieux. Mais attention, ce n'est pas l'examen d'entrée en 6° qu'ont connu les anciens, non, juste des tests pour savoir ce que les enfants de cette classe ont assimilé-ou pas- à six mois de la fin de ce cycle...même si les sujets n'ont pas été encore étudiés! C'est vrai que les enseignants ne font jamais de contrôles, de bilans, de compositions pour parler toujours aux vieux de la vieille et qu'ils ont besoin d'une épreuve nationale pour établir un constat de réussites ou d'échecs de leurs élèves avant le passage au collège.
    Mais cette initiative « originale » n'est pas la première de M. Darcos.
    D'abord, on commence par reclasser les instits du RASED (Réseau d'Aides Spécialisées aux Elèves en Difficulté), prétextant qu'ils ne servent plus à rien, et on continue par réduire le nombre d'enseignants dans le primaire (6 000 au moins), d' où des classes qui peuvent atteindre le chiffre de 28 à 30 élèves (29,2 en moyenne du CP au CM2 dans une école voisine pour l'an prochain s'il n'y a pas d'ouverture).
    Puis on évoque l'idée de ne plus scolariser les péquelets de 2 ans et si tout va bien (façon de parler!), on envisage de supprimer carrément la maternelle sauf la grande section. C'est vrai que payer des « bac +5 » pour changer des couches et surveiller les siestes (dixit le ministre!), c'est du gaspillage. Ce qui est faux car pour être admis à l'école, il faut être propre. Et que fera-t-on de tous ces petits qui ne pourront aller dans des crèches ou des garderies faute de places et/ou de moyens financiers? Ne vous inquiétez pas, les grands pontes du ministère y ont pensé et ont décidé la création de jardins d'éveil où un personnel (quelle qualification?) coûtant bien moins cher s'occupera d'eux. Pour leur faire faire on ne sait quelles activités, à part un petit somme l'après-midi bien sûr. Les grands de la dernière année de maternelle, eux, auront du boulot en perspective puisqu'ils devront apprendre à lire et même devront pratiquement savoir lire en juin, puisque cette classe deviendra un CP déguisé, un CP1 quoi! (2). Quid du rôle des ATSEM ( Agent territorial spécialisé en maternelle)? Ces dames auront intérêt à se recycler très vite de même que les AVS (Auxiliaire de vie scolaire) si précieuses pour aider les enfants handicapés mais qui sont menacées elles aussi de disparition.
    On pourrait aussi parler de la suppression prochaine des écoles de formation des maîtres (les IUFM) car les professeurs sortiront des universités pour aller directement dans les classes sans avoir effectué le moindre stage.
    Enfin, on ne peut pas passer sous silence le fameux logiciel « base élèves » imposé aux directeurs d'école où des questions plutôt indiscrètes sont demandées aux parents, genre nationalité, pays d'origine, langue parlée à la maison, année d'arrivée en France, catégorie sociale...dont les réponses sont consultables par les autorités, les inspections, la mairie et qui encore? Autrefois, de mon temps, on leur demandait juste l'adresse, les numéros de téléphone, l'état de santé, des renseignements on ne peut plus banals (et non pas banaux d'après les instits!) Pourquoi de tels changements voulus par ce ministre? Officiellement pour améliorer le système éducatif et pour faire remonter le rang de la France dans le classement mondial des évaluations internationales . Mais en réalité, on en doute.
    Si l'on prend l'exemple de l'école de MUS, voilà ce qui risque d'arriver dans quelques années:
    D'abord des petites économies grâce aux subventions qui ne seront plus versées au RASED (mais çà, la commune a déjà pris les devants en ne leur donnant pas d'argent pour acheter du matériel justement spécialisé alors que l'année est loin d'être finie et qu'un nombre conséquent d'élèves en profitait)(3)
    Des économies encore mais plus importantes car le budget alloué pour les affaires scolaires diminuera fortement par suite de suppressions des classes de TPS, PS et peut-être la MS ( Toute Petite, Petite et Moyenne Sections) soit entre 20 et 30 élèves en 2009.
    Des économies toujours car si l'école des Amandiers n'avait plus que 3 ou 4 classes, elle devrait obligatoirement intégrer un établissement public d'enseignement primaire (EPEP), c'est à dire se regrouper avec une ou plusieurs écoles voisines avec toutes les conséquences que cela implique.
    Pour être juste, il y aura quand même des dépenses nouvelles pour financer ces fameux jardins d'éveil à moins que ce soit à la charge des familles...
    Désormais,on n'entendra plus certains conseillers municipaux (pas tous, il faut le reconnaître) se plaindre sans arrêt que: « L'école, ça coûte cher!»
    Entièrement vraie cette remarque, la directrice et ses collègues sont toujours à demander des sous à la mairie. Un jour, c'est pour acheter des étagères, un autre jour, c'est pour remplacer des stores cassés ou pire des livres qui ne sont plus adaptés aux programmes parce que ceux-ci changent pratiquement tous les ans, (même si pour cette fois les enseignants n'y sont pour rien, chaque ministre voulant laisser son « empreinte » dans les manuels scolaires). On ne parle pas évidemment du revêtement de la cour, sujet trop délicat pour être abordé ici.
    Alors, cette école de demain, c'est-à-dire celle voulue par nos dirigeants actuels, vous pensez qu'elle sera mieux que celle d'aujourd'hui? Bien sûr qu'elle doit changer, s'adapter aux réalités modernes, bien sûr que des réformes pour l'améliorer sont nécessaires et que les enseignants doivent continuer à se former. Mais le but de l'école, est-ce uniquement une question d'argent? A t-on parlé dans ces lignes de pédagogie, d'éducation (sans majuscule)? Et le mot « enfant », a-t-il été cité une fois?

    René JAURETCHE, ancien directeur d'école, actuellement Délégué Départemental de l' Education Nationale



    1- Titre d'un ouvrage de Daniel PENNAC
    2- Lettre de André OUZOULIAS, professeur à l'IUFM de Versailles
    3 La CNIL a imposé la suppression de nombreuses questions
    4-La Mairie pourrait changer d'avis suite à la demande de Mme l' Inspectrice

  • Conseil intercommunal du jeudi 26 février.

    Conseil intercommunal du jeudi 26 février.

    La crise financière de notre petite communauté de communes est entrée dans les mœurs, plus personne ne fait semblant d’être choqué par les histoires de finance de la communauté de communes.

    A l’ordre du jour, le président essaie de nous expliquer ce qu’il s’est passé avant son arrivée : de nombreux déficits de fonctionnement de la communauté de communes, jamais compensés. La traduction serait que la communauté de communes continuait de construire et d’investir, alors qu’elle n’avait déjà plus les moyens de payer ses salariés et qu’elle faisait fonctionner ses services à perte. Aussi, des dépenses trop importantes auraient été placées dans la section fonctionnement du budget intercommunautaire… ce qui empêche par la suite de récupérer la T.V.A. et qui équivaut à une augmentation de près de 20% de certaines factures.

    Aucune malversation, donc, contrairement à ce que laissait sous-entendre le mot d’excuse signé par les dix anciens vice-présidents. M. Estève a confirmé que toutes les dépenses et tous les budgets avaient été soumis à l’approbation du conseil. La faute est donc définitivement collective.

    Il a par la suite exposé les trois méthodes qu’il retient pour renflouer le déficit de la communauté de communes.
    -Premièrement, le paiement par toutes les communes de la communauté de communes d’une « taxe solidarité », en fait un prélèvement sur des dotations de compensation de la taxe professionnelle. En effet, les communes ne prélèvent plus cette taxe, c’est la communauté de communes qui la perçoit. Cette compensation sert donc à « amortir » les pertes des communes. Notons qu’une commune comme Mus n’apporte presque pas de taxe professionnelle. La commune de Mus est donc appelée a payer à partir de son budget principal la fameuse taxe solidarité.
    -Ensuite, si cela ne suffit pas (ou si l’idée avait été rejetée), une taxe exceptionnelle serait mise en place. Elle aurait pour but de renflouer en un ou
    deux ans les finances de la communauté de communes. Celle-ci se concrétiserait par une forte augmentation des taxes foncières et de la taxe d’habitation. Inutile en plus d’espérer les voir baisser dans la foulée.
    -Enfin, dernier recours, la mise sous tutelle de la communauté de communes. Solution peu souhaitable selon nos délégués. A se demander ce qui pourrait être pire que la période de restriction dans laquelle nous entrons. Le président a peut-être apporté une réponse à ce point en précisant que les délégués intercommunaux passeraient vraiment pour des « rigolos » s’ils devaient en arriver là… à moins qu’ils n’aient pas attendu…

    Aussi, les mauvaises nouvelles continuent à affluer : le prix du rachat du papier, qui permet de baisser le prix de l’enlèvement des ordures ménagères, s’est totalement écroulé. Il a perdu près de 90% de sa valeur. C’est une manne financière importante qui s’échappe.

    Pour finir sur une note optimiste, un projet novateur a été présenté par les élus de Boissières. Il s’agit d’un parc de plus de vingt hectares de panneaux photovoltaïques, proposé par Electricité de France – énergies nouvelles. Celui-ci serait en mesure de produire de l’électricité pour près de 5000 foyers, en polluant un minimum. Ce projet serait placé dans une zone de garrigue basse, donc très peu de destruction de forêt, et pourra être entièrement démonté si la commune ne souhaite pas reconduire le bail.
    Ce projet produirait de la taxe professionnelle pour notre communauté de communes, qui en a bien besoin, grâce à la location des terrains de Boissières. Et en espérant que la suppression de celle-ci, annoncée par le Président de la République, ne concerne pas ce type de projet. Car ce n’est pas une éventuelle « taxe carbone » qui rendra ce type de projet attractif pour les communes.
    La suppression de la taxe professionnelle deviendrait alors un frein au développement durable.

    Antoine BOGARD

  • Compte rendu du conseil du 25 Février

     

    Conseil municipal du 25 février

     

    La salle du conseil est chaque fois plus remplie. Ce conseil ne ressemble plus, depuis quelques mois, à une chambre d'enregistrement des décisions prise en commission. Il y a débat, oppositions controverses, bref il y a démocratie, car des mussois s'intéressent à la politique locale, 1 an après les élections. Pour moi le pari est gagné et le phénomène doit s'amplifier.

    Le débat de ce conseil a pris d'emblée une allure très polémique où quelques coups bas ont fusé.

    Le premier est d'avoir tronqué, dans le compte rendu du conseil précédent, mes interventions alors même qu'elles avaient été relevées correctement par la secrétaire de séance. Le conseil du 3 février se résumait donc à une liste de décision prise à la quasi-unanimité moins une voix ou deux. Alors que lors de ce conseil j'avais clairement exprimé ma position sur le choix du candidat du commerce et sur la solidarité à la communauté de commune.

    Ensuite Md la maire s'est faite très pédagogue, rappelant tout l'intérêt du commerce dans le village et rappelant l' historique et les étapes jusqu'au choix du candidat.

    Puis, non sans théâtralité, voilà qu'elle nous annonçait que MUS était devenu Chicago, ou OK CORRAL, que de mauvais plaisants avaient envoyé des appels anonymes aux candidats choisis, dont certain particulièrement odieux, car adressés à leur fille de 10 ans, afin de les dissuader de venir à MUS. Pour ces raisons, les candidats ont renoncé au commerce et porté plainte. Comme il fallait s'y attendre,notre maire a désigné les responsables , à mots à peine voilés, : les candidats déçus, MUS21 et son blog.

    Je pense avoir mis les choses au point à ce sujet en cour de conseil, bien que je sois  encore ulcéré que certains collègues, dans cette assemblée, aient pu penser que j'étais solidaire de ses actes lâches.

    MUS21 condamne totalement ces actions répréhensibles et nous espérons que toute la lumière sera faite à ce sujet.

    En revanche, notre position sur le choix du candidat n'a pas changé.

    Il y avait une candidate mussoise jeune, peut-être moins expérimentée, mais terriblement motivée et, depuis longtemps, décidée à ouvrir un commerce dans le village.

    La commission présidée par Md la maire a choisi un autre candidat, plus âgé, déjà gérant d'un commerce, apportant toutes les garantis comptables pour mener à bien sa tâche, toutes les garantis pour que l'affaire soit rentable et que la mairie récupère son loyer.

    Face à un choix exprimant la solidarité du village autour du commerce et d'une jeune gérante du cru et au chômage, la commission très influencée par un technicien de la chambre de commerce a préféré la sécurité comptable d'un candidat plus expérimenté où le facteur avance de fonds personnel a dû être le plus déterminant. Ce fut donc un choix froid et calculateur de DRH d'entreprise de l'agroalimentaire. Ce sont ces choix comptables, favorisant la rentabilité et l'expérience qui mettent sur la touche des millions de jeunes sur le marché de l'emploi.

    Pour résumer notre position, le succès du commerce ne viendra pas de plus ou moins d'expérience du gérant, mais de plus ou moins d'envie de la part de tous les mussois de se retrouver sur la place ensemble et échanger. La candidate mussoise en était la garantie par le réseau qu'elle avait déjà établi par ses connaissances et l'élan solidaire qu'elle aurait impulsée.

    Cela dit, il faut raison garder ,nous ne savons pas , aujourd'hui, après ces évènements regrettables, qui prendra ce commerce . Mais, quel qu'il soit, il peut-être assuré du soutient total de MUS21, nous n'appellerons jamais à un boycott du commerce comme j'ai pu le lire sur certain commentaires du blog. Notre but n'est certainement pas de torpiller la création du commerce, c' était l'une de nos propositions lors des élections municipales.

    Pour finir, je m'interroge sur l'amalgame facile entre les mots haineux qui auraient accompagné ce débat et la position de MUS21. Notre opinion à ce sujet a toujours était claire et argumenté. Les avis étaient légitimement tranchés dans le village d'un coté le choix comptable de l'autre le choix solidaire. Les dérapages ne sont-ils pas plutôt , la résultante d'une campagne électorale de la liste de md la maire,sans  discution publique, faussement apolitiques où le débat d'idée fut remplacé par du porte à porte et du clientélisme. Où les promesses données entre quatre yeux sont devenues, peut-être, de mauvaises surprises ?

     

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    CHRISTIAN MARTIN

     

     

     

     

     

     

     

     

  • L'alibi

    L’alibi.


    L’incompétence décomplexée. C’est l’étrange alibi que donnent les délégués intercommunautaires depuis quelques mois. Une prétention. Assumée et revendiquée. C’est, semble t-il, le meilleur moyen de se désolidariser de la politique menée par Mr Pourreau depuis maintenant trop longtemps. C’est un expert comptable qui a découvert le gouffre et, parce que c’est un professionnel de la finance, il a su le faire en trois jours. Les autres ne le pouvaient pas.
    Rappelons que la grande majorité des vice-présidents en est à son second mandat de délégué intercommunautaire. Mr Pourreau se félicitait, lors de sa nomination en tant que président de la communauté de communes Rhôny -Vistre-Vidourle (CCRVV), de ce que toutes les listes qui avait soutenu son action avaient largement été réélues, et que c’était un signe de la « qualité » de son action.

    Aujourd’hui, on fait le bilan (le vrai cette fois), de cette action quasi-unanime menée par la communauté de communes.
    - Les achats de nombreux bâtiments municipaux des communes de la CCRVV (totalement inutiles selon le maire de Mus) qui nous ont coûté une fortune. Pire même, puisque, par exemple, un bâtiment construit par une commune aux frais de ses citoyens, a été racheté par la communauté de communes… avec une nouvelle participation de ces mêmes citoyens. Et ce sont ces citoyens qu’on appelle au secours aujourd’hui ! Allons-y ! Payons une troisième fois !
    - Les transferts de compétences mal gérés, trop nombreux, et comprenant de nombreux emplois (dont certains ont déjà été supprimés, dans l’indifférence navrante du conseil intercommunautaire, mais c’est vrai que le non renouvellement d’un contrat à durée déterminée, ce n’est pas un licenciement.)
    On sacrifie les repas bio, on supprime des emplois, on augmente le prix des services, il y a tant de dégâts à rattraper…

    Aujourd’hui, ce n’est plus de « qualité » que nous entendons parler dans cette communauté de communes, mais de solidarité.

    La situation lamentable de sa section financière, qui présentait encore il y a peu un déficit chronique, et qui accuse une dette de plus de quinze millions d’euros nous font découvrir de véritables aberrations dans ce mécanisme obscur et refermé sur lui-même.
    A cette occasion, on nous a beaucoup parlé de solidarité à l’égard de l’ancien président.

    Mais récemment, il a été mis en accusation de façon véhémente dans une lettre co-signée par les vice-présidents de la communauté de communes. Cela ne les a pas empêché de lui assurer une place rémunérée et influente au sein du conseil intercommunautaire.
    Nous avons remarqué beaucoup de solidarité aussi entre les délégués intercommunautaires pour assurer le paiement de cette crise par les citoyens plutôt que d’envisager le moindre reversement d’indemnité - ne serait-ce que par décence - pour tenter de combler ce gouffre.
    Solidarité encore entre les communes quand on demande aux communes trop pauvres de verser un « impôt solidarité » à la communauté de communes de plus de 4 000 euros, ce qui ne nous garanti absolument pas que nous serons exemptés de taxe exceptionnelle pour l’année à venir). Et nous ne sommes pas dupes. Ces 4 000 euros, versé par Mus, ce sont les Mussois qui les paieront, puisqu’ils sont prélevés sur le budget municipal.

    De fait, cette façon de gérer la communauté de communes a surtout permis aux délégués intercommunautaires de faire passer des dettes et déficits de leur communes vers une institution plus lointaine.
    La communauté de commune, c’est notre Europe à nous… Leur alibi.
    Car on les voit venir, nos élus : tout ce qui vous arrivera sera de la faute de la communauté de communes (dont ils ont soutenu l’action, mais ça, ils ne le rappelleront pas).
    Rappelons que le, le 9 octobre 2008, M. Esteve précisait clairement que « ce furent des choix collectifs, des décisions collectives, qui ont engendré des déséquilibres qu’il faut corriger, et que l’honnêteté personnelle du président n’est pas discutable. » Le mot d’excuse du mois de décembre (lettre aux contribuable de la communauté de communes Rhôny-Vistre-Vidourle) ressemble décidément trop à une tromperie.

    Enfin, lorsque le collectif « Mus21 » s’est inquiété de l’état des finances de la communauté de communes à travers la voix de son élu, M. Christian Martin, on nous a assuré que la situation était totalement maîtrisée. Peu de conseillers semblaient s’intéresser à la question.

    Nous ne sommes pas opposés aux taxes quand elles sont utiles, nous sommes partisans d’une fonction publique forte, proche des citoyens et accessible à tous, ce qui suppose une participation de chacun d’entre nous. Les efforts que nous demandent nos délégués intercommunautaires depuis plusieurs mois ne vont malheureusement pas du tout en ce sens Il ne s’agit que de rembourser des erreurs qui auraient pu être évitées avec plus de vigilance et d’implication de leur part dans les affaires de la communauté de communes.

    Antoine BOGARD

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    Les politiques grecs ne reconnaissent d'autre force que celle de la vertu. Ceux d'aujourd'hui ne vous parlent que de manufactures, de commerce, de finances, de richesses et de luxe même.   [Montesquieu]