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  • Exigeons un seuil d'émission à 0,6v/m des antennes du chateau d'eau.

     

     

     

     

    Christian MARTIN
    Conseiller Municipal le 21 05 2009



    à Mme Vivette Lopez maire de MUS

    Mme,



    A l’occasion du Grenelle de la Téléphonie Mobile l’association Robin des Toits a proposé le 6 mai la mise en place d’expérimentation grandeur nature du seuil de précaution sanitaire de 0,6V/m défendu par les scientifiques internationaux indépendants.

    Cette proposition a reçu le soutien de l'Association des Maires de France, du CRIIREM, d'Ecologie Sans Frontière et de la Confédération Syndicale des Familles.

    Plusieurs communes de zones urbaines et rurales sont déjà volontaires :
    Courbevoie (Hauts-de-Seine)
    Hérouville-Saint-Clair (Calvados)
    Le Vigan (Gard)
    Niergnies (Nord)
    Aumessas (Gard)
    Campestre-et-Luc (Gard)
    L'Ile-Saint-Denis (Seine-Saint-Denis)
    Chassieu (Rhône)
    Pau (Pyrénées Atlantiques)
    Portiragnes (Hérault)
    Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
    Olemps (Aveyron)
    Meynes (Gard)

    A l’heure actuelle les seuils d’exposition maximum sont compris entre 41 et 61V/m mais Robin des Toits et les communes volontaires souhaitent que le seuil d’exposition ne dépasse pas 0.6V/m. Ce seuil permettrait le fonctionnement normal du portable tout en assurant une bien meilleure protection sanitaire des riverains d’antenne. Sur le terrain, Robin des toits constate que lorsque les citoyens sont correctement informés, ils sont tout à fait d'accord pour recevoir l'installation d'un opérateur de téléphonie mobile, à condition que ce dernier garantisse un seuil indépassable de 0,6V/m.

    Devant le silence des opérateurs et du gouvernement devant cette proposition et afin que ce Grenelle débouche sur des résultats concrets, Robin des Toits, en coordination avec le CRIIREM lance un appel à candidature aux collectivités souhaitant également devenir ville pilote pour l’expérimentation du seuil de 0,6V/m.


    Les collectivités candidates peuvent s'inscrire auprès de contact@robindestoits.org .

    Je vous demande de soumettre cette proposition et cette candidature en conseil municipal.

    Je vous remercie d'avance de l'attention et des suites que vous donnerez à ce courrier

     

     

    http://videos.next-up.org/ITele/EtienneCendrierLesOndesSontEllesDangereuses/17112008.html

     

    logo_128.gif

     

  • Le journal municipal

     

     

     

    Le journal de Mme la mairesse est sorti. Un journal de propagande, ou de campagne électorale(on se demande pourquoi!), avec un brin d'office du tourisme .

    Bien sûr, pas de signatures dans ce journal dont l'article principal insinue que le collectif MUS21 et moi-même sommes les instigateurs d'une machination contre le commerçant, choisi par une commission qui n'a jamais été définie en conseil municipal et qui relevait d'une procédure illégale. Des accusations diffamatoires sur ma personne, sur mon mode d'exercice , mon secrétariat, portée par l'intermédiaire de la lettre du candidat démissionnaire. Rien sur mes réflexions et arguments que j'ai portés en conseil municipal pour expliquer mon désaccord  avec ce choix.

    J'ai pu avoir une conversation téléphonique avec ce candidat, sur laquelle je n'ai jamais voulu communiquer, désirant rester sur le plan du débat d'idée, mais, compte tenu de la méthode employée dans ce journal, je vais en donner un compte rendu .

    Ce monsieur très sympathique ,au demeurant, m'a expliqué, qu'il avait beaucoup perdu d'argent dans cette affaire, ayant engagé un comptable pour chiffrer son transfert à MUS, qu'il avait donné beaucoup de son temps pour trouver un appartement dans le secteur, qu'il se considérait à juste titre la première victime de cette histoire. Jamais la mairesse ne lui avait avoué qu'une candidate Mussoise portait ce projet de commerce depuis longtemps. Il ne savait pas que Mme la mairesse l'avait dissuadée d'ouvrir l'ancienne boulangerie .

    À l'issue de cette communication, j'ai senti de la part du candidat choisi et meurtri, beaucoup d'amertume envers l'équipe dirigeante de MUS. Je précise que cet entretien est resté courtois, et que ce monsieur n'a jamais montré d'animosité à l'égard du collectif MUS21.

    Le reste du journal se résume à un tissu de contre-vérité ou d'absurdités flagrantes que le vais énumérer:

    - Pour le budget équilibré signalons  un emprunt de 220 000 milles euro, tout de même!

    -Pour le bilan pédagogique de l'école, probablement écrit par notre conseillère municipale enseignante, rien ne rend compte du climat et des revendications du conseil d'école auquel je participe.

    -La subvention au RASED préalablement rejeté par le conseil a été remise au budget grâce à nos actions.

    -Le mobilier remplacé, acheté à bas prix chez IKEA absolument pas aux normes pour une école.

    -L'aménagement de la cour de l'école et le ratissage réalisé sous la pression des parents d'élèves et des normes de sécurités.

    -La sortie piscine refusée à certaines classes, car « trop chère », alors que le budget fonctionnement est excédentaire de 36000 euros.

     

    -Bien sur, les soirées littéraires et musicales de Md la mairesse, sa bibliothèque dont on n'a pas fini d'en apprendre sur le cout de fonctionnement à venir, son rond point là bas! en bas! Au fin fond de l'impasse des Brésines.

    -Enfin, rien comme de coutume sur notre communauté de commune déficitaire dont Mme la mairesse est vice présidente.

     

    -Je finirais par ce qu'il n'y a pas: le droit de réponse que Md Laboury avait sollicité à la suite des propos diffamatoires tenus à son égard, dans ce même journal, il y a quelques mois.

     

    Vraiment triste journal pour qui s' intéresse un peu à la vie citoyenne de ce village.

     

    Christian MARTIN

     

     

  • Conseil communautaire du 14 Mai 2009

    Il est bien difficile actuellement d’arriver à savoir quand se déroulent les conseils communautaires. L’information de la part des communes est quasi inexistante : la preuve, le dernier bulletin municipal de Mus, où pas une ligne n’est consacrée à cette institution en quasi-faillite qui gère une grande part de notre commune.

     

    C’est pour cette raison qu’une information permanente doit être assurée autour de cette institution, et que les conseillers municipaux doivent, plus que jamais, demander à être informés des décisions prises par ce conseil qui, depuis sa création, a considérablement réduit leur pouvoir.

     

    Durant le vote du budget de l’année 2008, le 26 mars 2009, le président de la communauté de communes nous prévenait : la situation devient si problématique qu’il envisageait déjà d’abandonner certaines compétences de la communauté de communes. Sans donner plus de détails.

     

    Nous craignons à présent qu’il s’agisse là des compétences liées à la petite enfance : cantines, garderies, etc. qui semblent être un « boulet » pour la communauté de communes et pour les communes…

    En effet, nous nous souvenons les efforts qu’il a fallu déployer en 2008 pour interpeller l’attention du conseil municipal sur l’état de la cour d’école de Mus.

    Vergèze accueille en ce moment un nouveau quartier : « la Malacorade ». Plusieurs dizaines de familles arrivent. Aucune extension de l’école n’est prévue…

    Pour justifier le refus des cantines « bio », il y a des clichés tout prêts :

    « On aura beau faire du « bio », les enfants se précipiteront à « MacDo » à la sortie de l’école. »

    « J’aimerais voir un toubib qui confirmera que manger « bio » préserve la santé des enfants »… (Qu’en pense Christian Martin ?)

     

    Cette fois-ci, ce sont les études organisées après les cours dans les écoles primaires de certaines communes qui sont visées. Celles-ci sont facturées 7,50 euros par semaine et par enfant, et coûtent 15 euros à la communauté de communes. Sur le budget, cela représente un coût de 15 000 euros annuels. Loin d’être insurmontable dans un budget de 15 millions d’euros, cette facture gêne quand même nos délégués : de deux choses l’une : ou les études sont facturées 15 euros / semaine / enfant (ce qui serait le prix du « service »), soit les études sont supprimées. Une seule déléguée a pris la parole et s’est interrogée sur cette stratégie. D’autant plus que ces mêmes délégués venaient de voter une vieille facture de plus de 10 000 euros pour planter des pins parasols plutôt que des pins d’Alep sur un rond-point.

     

    Plus largement, c’est l’idée que certains de nos élus semblent se faire de l’éducation qui pose problème. C’est même un débat national, mais qui montre dans notre cas toutes ses implications locales.

    Le président de la communauté de communes considère souvent les questions d’éducation  comme des services rendus, qui supposent une facturation exacte des prestations, alors que l’éducation a toujours été considérée comme un investissement à long terme.

    Dans le premier cas, seuls ceux qui en ont les moyens peuvent profiter de tous les mécanismes mis en place pour aider les enfants.

    Dans le second, tout est mis en place pour aider tous les enfants sans distinction. C’est (théoriquement) le principe de l’éducation nationale publique. Seulement, les collectivités locales ont, nous le voyons bien, leur mot à dire, et là, les inégalités apparaissent.

    En passant le prix des études de 7,50 euros à 15 euros, combien de familles ne pourront plus les payer ?

     

    Et tout cela se décide à Gallargues.

     

    Ajoutons aussi que les parents ayant des enfants au collège de Vergèze manifestaient le samedi 4 avril : le collège est surchargé, les enfants sont entassés dans des préfabriqués car les salles de classe manquent, et personne n’arrive à faire avancer le projet de collège de Gallargues.

     

    Ce n’est plus de l’éducation, c’est de l’élevage.

     

    Antoine BOGARD

  • Le conseil municipal des muets

    Le conseil municipal du 6 mai a valeur de symbole. Il est illustration du système de notre mairesse. Ce système se résume en une formule : je suis maire élue, je ne fais donc que ce qui me plait et je m'assoie sur tous les désirs des Mussois. Il y aura donc mon commerce surdimensionné avec mon gérant que j'aurai choisi selon mes critères,ma bibliothèque pharaonique pour mes soirées littéraires, mon rond point inutile. Tout cela grâce à mon emprunt de 225000 euros que vous rembourserez et l'argent de mes amis de l'UMP ,Mouru et Fournier. Accessoirement on aménagera les abords de ma salle "Mus art d". Pour la cour de votre école, la commission promise se réunira pour la deuxième fois en presque un an, c'est dire l'intérêt que j'y porte. Vos enfants n'auront pas de sortie piscine, ni de mobiliers aux normes. Les trous de votre rue demeureront, les bruits de l'autoroute et l'arrosage électromagnétique des antennes du château d'eau aussi.

    J'ai une équipe soudée autour de moi, quasi muette en conseil municipal qui vote tout ce que j'aime.


    Dernière grande décision : le projet du commerce:
    On reprend à zéro, mais sans changer une virgule. Un nouvel appel d'offre pour recruter un gérant de préférence avec expérience et revenus suffisants, surtout pas mussois et jeune ou au chômage. La même commission se réunira, dans la même opacité.

    On m'a fait remarquer dans la salle du conseil ,parmis les spectateurs, le candidat arrivé deuxième lors de la première commission. Aurait-il déjà tous les critères retenus.

    Sans commentaire.


    Non décidément cette gestion municipale est la négation de la démocratie active, elle illustre tout mon combat, pour l'implication de tous( élu ou pas) dans les grands choix du village.


    Le combat continue donc ! Et surtout ne lachons rien!


    Christian MARTIN